En tant que coopérative, nous avons à cœur d’être en cohérence
avec nos valeurs et notre éthique.
Nous avons choisi de ne travailler que sur des projets nous intéressant réellement et que nous jugeons bénéfiques pour la collectivité.
Par exemple, nous promouvons l’utilisation des logiciels libres ou la sensibilisation aux inégalités systémiques, notamment de genre. En plus d’être pour nous le gage d’un travail bien fait, ce choix nous permet de garder notre propre cap. Dans cette optique, nous nous réservons un temps pour intervenir de manière bénévole lorsque nous le souhaitons. Enfin, si nous ne pouvons nous affranchir totalement de nos positions sociales, nous tentons constamment de les déconstruire et d’être attenti·ves aux biais qu’elles entraînent.
Heures de formations en 2022
Stagiaires en 2022
Parcours de formation en 2022
Pour toute question d’accessibilité, merci de contacter notre référent handicap .
Deux coopérateurices composent aujourd’hui La Boussole :
Docteure en Sciences de l’Information et de la communication, Natalia est chercheuse universitaire, rattachée au laboratoire Expérice. Elle a enseigné à l’Université Paris 8 Vincennes à St-Denis et à l’École des Mines en tant que ATER et vacataire dans les départements Culture et communication et l’Informatique pour tou·tes. Elle a assuré des cours en Licence, Master 1 et 2 sur l’économie de la communication, la diversité culturelle, ainsi que sur les aspects politiques de l’informatique. Elle a obtenu un Master en Histoire des relations internationales à Paris I et un deuxième en Études politiques à l’École des Hautes Études en Sciences Sociales (EHESS). En parallèle de ses études, elle s’est engagée dans de nombreuses actions associatives autour du soin et de la médecine humanitaire au CRASH de MSF (Centre de réflexion sur l’action et les savoirs humanitaires de Médecins sans frontières) ou encore au sein de la revue Pratiques, les cahiers de la médecine utopique du Syndicat général de la médecine. Ses intérêts associatifs portent aussi sur la dimension écologie de l’informatique et elle anime régulièrement des ateliers de sensibilisation. Natalia a soutenu sa thèse de doctorat, Technocontestations à Cuba sur l’autonomie technique et les low-tech.
Après une formation en sociologie et sciences politiques et plusieurs volontariats internationaux, Quentin a travaillé au sein du Comité de Coordination du Service Volontaire International (CCSVI) à l’UNESCO en tant que coordinateur de projets dans un vaste réseau international d’ONG de volontariat. Il s’est alors spécialisé dans les pédagogies alternatives, notamment sur les thématiques de l’interculturalité et des discriminations. Cet environnement mixte, mêlant volontaires, salarié·es et interlocuteurs institutionnels l’a poussé à se former aux méthodes participatives et à l’intelligence collective pour les mettre en pratique au quotidien. Par la suite, en tant que responsable de la formation au sein du réseau Emmaüs International, il a étendu son champ d’action au secteur social et solidaire. Enfin, son goût personnel pour les nouvelles technologies de l’information et de la communication (NTIC) l’a amené à mettre en application sa démarche d’éducation populaire pour la sensibilisation aux usages numériques et à leur impact social et écologique.